voici le lien pour les anglophones et les autres
Bonne reception.
http://www.101airborneww2.com/insignia3.html
Peintures sur les casques.
Une de formes les plus distinctives des insignes portées par la 101ème airborne durant la seconde guerre mondiale fut les peintures sur leurs casques. Après le saut des parachutistes, une fois au sol, avec des soldats venant de differents sous-unités mixées entre elles, rassembler celles-ci le plus vite possible était essentiels afin de venir à bout de la mission.
Des symboles rapidement lisibles et visibles sur les casques était désirés afin de faciliter le processus de re-assemblement de ces troupes.
Chaque régiment et bataillons de support avaient un symbole de peint sur les chaque cotés du casque.
En Angletterre avant l’invasion de la Normandie, ils ont été seulement appliqués sur les casques. Plus tard, les peintures furent également aussi appliqués sur les liners. Bien que quelques peintures réglementaires furent appliquées sans le « tic », un petit tiret fut utilement inclus à 12 heures, 3 heures, 6 heures et 9 heures pour designer les bataillons, dans le sens des aiguilles d’une montre. Le quartier general au top, le 1er bataillon à 3 heures, le 2eme bataillon à 6 heures, et le troisième bataillon à 9 heures.
Les régiments d’infanteries furent représentées avec des symboles de cartes à jouer, carreaux pour la 501 eme, cœur pour la 502 eme, piques pour la 506 ème, trèfles pour la 327 eme d’infanterie de planeurs.
Il y eut une confusion de la 3ème du 506ème durant le saut en Normandie car leur tiret était dans la 1e position (3 heures au lieu de 9 heures), c'a a été corrigé plus tard durant la seconde guerre.
Toutes les unités ont également utilisées les peintures standards ETO avec une bande verticale et une horizontale le long de l’arrière du casque pour repérer facilement les officiers et les non officiers . Cependant ces marquages étaient egalement des signals très clairs pour les snipers enemis afin des les tuer durant les combats.
Application de la peinture.
Des vétérans individuels ont déclaré que les inscriptions étaient re-appliquées et le casque repeint après chaque mission.
L'examen de casques originaux a tendance à démontrer des plus grands symboles, resultat de plusieurs sous-couches de peinture appliquées les unes sur les autres, le symbole ancien etant donc caché par le nouveau.
Il est aussi probable que les marques des unités n’ont été appliqués sur les liners qu’ après Bastogne, probablement après leur retour au camp de mourmelon le petit en mars 1945.
Quelques inscriptions tactiques ont été proprement faites, utilisant des pochoirs réels, tandis que d'autres ont été peints à main levée. Le sergent de provision de chaque division ou batterie était responsable d'appliquer ces pochoirs, mais il déléguait d'habitude ce travail aux hommes de rang inférieur. Selon le 101e historien George Koskimaki, on donnait parfois ce travail comme une punition.
En règle générale, la taille complète d'inscriptions tactiques a eu tendance à devenir plus petite au fur et à mesure que la guerre a progressée et ont plus eut tendance à être appliqué relativement près du bas du casque, bien que quelques photos de cette période les montrent sur une partie supèrieure.
Don Burgett d'A/506th dit qu'après la Normandie, tous les casques d'acier à Able Co. De la 506ème ont été totalement repeints. Quand est venu le temps d’ appliquer ces 1/506ème pochoirs, chaque homme à dû s'appliquer celui de son propre casque. Quelques hommes sans capacité artistique, ont demandé à Don de peindre le leur, dont il a fait peut-être une demi-douzaine A/506th des casques pour la Hollande. Mais cela manifeste parfaitement comment un très large désaccord de styles, des tailles et de placement peuvent en résulter, et ce même dans une simple companie. Don à appliqué le sien à main levée.
D'autres dans la même compagnie l’ont faits en utilisant des pochoirs découpés.
Le casque de Cecil L. Simmons LTC, le dernier C.O. de 3ème Bn 502 PIR, est peint une couleur vert foncé, avec les pochoirs supplémentaires. Simmons m'a dit que cette nuance plus sombre a été appliquée en été, 1945, pendant le devoir d'occupation, afin que les casques soient plus présentables durant les défilés.
Don Burgett ajoute que quelques hommes ont également martelés leurs casques afin qu’il ne roulent plus car ils aimaient s’asseoir dessus durant les pauses. Bien sûr ils n’avaient aucune idée à l'époque que ces casques deviendraient des objets presques sacrés pour des collectionneurs de divisions aéroportées.
, c'est vraiment instructif comme site et comme infos personnellement j'ignorais qu'ils les peignaient après chaque mission, ca laisse la tête ouverte à pas mal d'idées et reponds à pas mal de questions qui pouvaient nous trotter dans la tête au vu de photos de pièces d'epoque avec des marquages de tailles differentes 