je possede des balles avec encore leur poudre puis je les desarmer est ce dangereux
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neutraliser balles
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neutraliser balles
de luger11 » Dim Juin 26, 2005 12:06 00
bonjour
je possede des balles avec encore leur poudre puis je les desarmer est ce dangereux
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luger11 - Membre actif
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de Solexine » Dim Juin 26, 2005 14:19 14
Bonjour,
nous avons un spécialiste de la munition ici, mais en attendant son intervention, je peux te préciser qu'une munition contenant de la poudre et une amorce, constitue un ensemble dangereux, à respecter.
Le bricolage n'est pas conseillé, souvent destructeur pour l'objet, et parfois pour le bricoleur.
Finalement, la meilleure façon de conserver une munition sans danger, est de la laisser dans un endroit sec, à température normale, à l'abri des chocs, telle qu'elle a été fabriquée.
Maintenant, légalement il faut savoir si cette ou ces cartouches sont classées, et donc interdites à la détention.
Dans ce cas, une neutralisation s'impose, et nécessite ce qu'on nomme "marteau à inertie".
Cet outil permet par gravitation, en amplifiant le poids de la balle, de la désolidariser de l'étui (douille), sans abîmer ce dernier.
Certaines munitions de guerre peuvent être incendiaires, explosives, ou autres joyeusetés, et leur démontage peut être périlleux.
Seul un expert en munition pourra déterminer le modèle de tes cartouches, ici éventuellement, sur photo côtée.
Bref, on regarde un serpent à sonnette, on n'essaye pas d'y toucher, à moins de s'y connaître vraiment en serpents, ou être inconscient.
Conclusion : Prudence !
Solex.
PS L'étui contient la poudre, et est amorcé, on serti en sa partie supérieure, la balle. L'ensemble se nomme "cartouche" ou munition.
nous avons un spécialiste de la munition ici, mais en attendant son intervention, je peux te préciser qu'une munition contenant de la poudre et une amorce, constitue un ensemble dangereux, à respecter.
Le bricolage n'est pas conseillé, souvent destructeur pour l'objet, et parfois pour le bricoleur.
Finalement, la meilleure façon de conserver une munition sans danger, est de la laisser dans un endroit sec, à température normale, à l'abri des chocs, telle qu'elle a été fabriquée.
Maintenant, légalement il faut savoir si cette ou ces cartouches sont classées, et donc interdites à la détention.
Dans ce cas, une neutralisation s'impose, et nécessite ce qu'on nomme "marteau à inertie".
Cet outil permet par gravitation, en amplifiant le poids de la balle, de la désolidariser de l'étui (douille), sans abîmer ce dernier.
Certaines munitions de guerre peuvent être incendiaires, explosives, ou autres joyeusetés, et leur démontage peut être périlleux.
Seul un expert en munition pourra déterminer le modèle de tes cartouches, ici éventuellement, sur photo côtée.
Bref, on regarde un serpent à sonnette, on n'essaye pas d'y toucher, à moins de s'y connaître vraiment en serpents, ou être inconscient.
Conclusion : Prudence !
Solex.
PS L'étui contient la poudre, et est amorcé, on serti en sa partie supérieure, la balle. L'ensemble se nomme "cartouche" ou munition.
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Solexine - Membre assez bavard
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de Philippe Regenstreif » Dim Juin 26, 2005 16:59 52
La neutralisation des munitions de collection est, en France, une sorte de serpent de mer, vu que légalement, cette collection n'existe pas. En conséquence, la détention de tels matériels, classés en 1ere et 4e catégorie, est illégale. Point barre.
Toutefois, il est patent que l'affaire n'est constituée que de nombreux cas d'espèce. On subira avec plus de force les foudres de lajustice si l'on amasse des caisses, des boites, des bandes de cartouches "vivantes", que si lesdites ont été préalablement neutralisées, c'est à dire désactivées.
Je rigole en lisant des annonces de vente: "vend boite complète de Mauser, dans le respect de lalégislation..." Quelle législation? il n'y en a pas! tout est à la merci du juge qui vous fera passer à la casserole d'une façon ou d'une autre...
Ou du verbalisateur qui écrira sur son PV "saisie d'une(arme) (cartouche) de calibre inconnu DONC DE 1ere CATEGORIE" (sic). Ne riez pas, cela 'est vu et l'avocat du justiciable n'a eu aucun mal à faire casser le jugement...(récent) mais à quel prix!
Les opérations de neutralisation peuvent être effectuées de diverses façons. Le marteau à inertie est séduisant, tant qu'il ne s'agit que de cartouches à projectile "ordinaire" ou "perforant". En effet, la manipulation d'un tel marteau peut se révéler catastrophisque dans le cas des cartouches à projectile explosif, comme les "B" allemandes (balles destinées à exploser à l'impact pour marquer la cible d'un nuage de fumée...).
Là où l'affaire va se corser, c'est que souvent l'amateur non-averti est incapable d'identifier les dites munitions, soit parce qu'il ne sait pas ce qu'il a en mains, soit parceque la corrosion ou l'âge ont fait disparaitre tout signe de reconnaissance.
Enfin, les gros calibres (12,7 par exemple, n'y passent évidemment pas...).
La seconde solution, relativement acceptée par le législateur est le perçage de l'étui, d'un trou de 3 mm de diamètre, suivi de l'élimination de la poudre et de l'introduction de gas-oil, de manière à neutraliser l'amorce...ces dernières ont parfois la peau dure, car elles peuvent avoir une étanchéité soignée.. C'est la position acceptée officieusement par le Ministère de la Défense, mais pas, semble-t-il, par l'Intérieur.
Troisième solution, les rechargeurs peuvent employer pour démonter sans risques leurs spécimens, un outil en forme de pince dit "bullet puller", qui se monte sur la presse à recharger. Le travail est simple mais souvent laisse sur le projectile, des marques d'outil.
Contrairement à ce qu'il est écrit dans beaucoup de papiers (!), les traçeuses ne constituent pas un risque supplémentaire du moins en ce qui concerne les modernes, car les premières traçaient ...à l'aide de phosphore (smoke-tracers et flame tracers), et étaient conçues pour mettre le feu aux saucissesx et aéronefs variés...Les traceuses plus récentes, ont un composé de trace qui, en fait, vieillit mal avec les années et finit par ne plus s'allumer du tout.
Les incendiaires sont de plusieurs types, celles contenant du phosphore, sont toujours dangereuses et nécessitent des manipulations spéciales, sous l'eau. Il vaut mieux, si on a des doutes, ne pas y toucher...Par contre, depuis les années 30 sont apparues des incendiaires à base de thermite, un composé à base de fer et d'alu ou de magnésium pulvérulents, qui ne s'allume qu'à la suite de l'écrasement sur la cible. Leur manipulation, comme dans le cas de .50 Browning (12,7x99) à pointe bleue, n'offre aucun risque particulier. La thermite était utilisée aussi pour...souder les rails de tramways!
Le principal danger des munitions actives "en vrac" est le risque d'un incendie, car dans ce cas, les choses se passeront mal pour l'environnement. Par contre, si vous jetez au feu quelques munitions, leur étui éclatera gracieusement et jamais aucune balle ne partira à plus de 20 cm ...Il n'est tout de même pas conseillé d'en mettre dans la chaudière du chauffage, vous risqueriez de prendre le portillon d'icelle dans la figure!
Ily aurait encore bien des choses à dire, mais ce forum n'y suffirait pas!
Donc, en résumé, prudence. On ne touche pas ce que l'on ne connait pas, et avant tout, on s'informe et on essaye de ne pas enfreindre la réglementation. AU pire, le Déminage est là... Une collection de 500 cartouches de 9 mm Para aux marquages différents est peut-être une source de satisfaction pour son propriétaire...mais pour le législateur (et les pisse-copies de la grande presse) c'est déjà un dépôt d'armes voire un arsenal, son propriétaire ne pouvant être qu'un dangereux maniaque pour les "politiquement corrects".
Je reste à votre disposition pour tout autre renseignement plus ciblé.
Cdt!
PR
Toutefois, il est patent que l'affaire n'est constituée que de nombreux cas d'espèce. On subira avec plus de force les foudres de lajustice si l'on amasse des caisses, des boites, des bandes de cartouches "vivantes", que si lesdites ont été préalablement neutralisées, c'est à dire désactivées.
Je rigole en lisant des annonces de vente: "vend boite complète de Mauser, dans le respect de lalégislation..." Quelle législation? il n'y en a pas! tout est à la merci du juge qui vous fera passer à la casserole d'une façon ou d'une autre...
Ou du verbalisateur qui écrira sur son PV "saisie d'une(arme) (cartouche) de calibre inconnu DONC DE 1ere CATEGORIE" (sic). Ne riez pas, cela 'est vu et l'avocat du justiciable n'a eu aucun mal à faire casser le jugement...(récent) mais à quel prix!
Les opérations de neutralisation peuvent être effectuées de diverses façons. Le marteau à inertie est séduisant, tant qu'il ne s'agit que de cartouches à projectile "ordinaire" ou "perforant". En effet, la manipulation d'un tel marteau peut se révéler catastrophisque dans le cas des cartouches à projectile explosif, comme les "B" allemandes (balles destinées à exploser à l'impact pour marquer la cible d'un nuage de fumée...).
Là où l'affaire va se corser, c'est que souvent l'amateur non-averti est incapable d'identifier les dites munitions, soit parce qu'il ne sait pas ce qu'il a en mains, soit parceque la corrosion ou l'âge ont fait disparaitre tout signe de reconnaissance.
Enfin, les gros calibres (12,7 par exemple, n'y passent évidemment pas...).
La seconde solution, relativement acceptée par le législateur est le perçage de l'étui, d'un trou de 3 mm de diamètre, suivi de l'élimination de la poudre et de l'introduction de gas-oil, de manière à neutraliser l'amorce...ces dernières ont parfois la peau dure, car elles peuvent avoir une étanchéité soignée.. C'est la position acceptée officieusement par le Ministère de la Défense, mais pas, semble-t-il, par l'Intérieur.
Troisième solution, les rechargeurs peuvent employer pour démonter sans risques leurs spécimens, un outil en forme de pince dit "bullet puller", qui se monte sur la presse à recharger. Le travail est simple mais souvent laisse sur le projectile, des marques d'outil.
Contrairement à ce qu'il est écrit dans beaucoup de papiers (!), les traçeuses ne constituent pas un risque supplémentaire du moins en ce qui concerne les modernes, car les premières traçaient ...à l'aide de phosphore (smoke-tracers et flame tracers), et étaient conçues pour mettre le feu aux saucissesx et aéronefs variés...Les traceuses plus récentes, ont un composé de trace qui, en fait, vieillit mal avec les années et finit par ne plus s'allumer du tout.
Les incendiaires sont de plusieurs types, celles contenant du phosphore, sont toujours dangereuses et nécessitent des manipulations spéciales, sous l'eau. Il vaut mieux, si on a des doutes, ne pas y toucher...Par contre, depuis les années 30 sont apparues des incendiaires à base de thermite, un composé à base de fer et d'alu ou de magnésium pulvérulents, qui ne s'allume qu'à la suite de l'écrasement sur la cible. Leur manipulation, comme dans le cas de .50 Browning (12,7x99) à pointe bleue, n'offre aucun risque particulier. La thermite était utilisée aussi pour...souder les rails de tramways!
Le principal danger des munitions actives "en vrac" est le risque d'un incendie, car dans ce cas, les choses se passeront mal pour l'environnement. Par contre, si vous jetez au feu quelques munitions, leur étui éclatera gracieusement et jamais aucune balle ne partira à plus de 20 cm ...Il n'est tout de même pas conseillé d'en mettre dans la chaudière du chauffage, vous risqueriez de prendre le portillon d'icelle dans la figure!
Ily aurait encore bien des choses à dire, mais ce forum n'y suffirait pas!
Donc, en résumé, prudence. On ne touche pas ce que l'on ne connait pas, et avant tout, on s'informe et on essaye de ne pas enfreindre la réglementation. AU pire, le Déminage est là... Une collection de 500 cartouches de 9 mm Para aux marquages différents est peut-être une source de satisfaction pour son propriétaire...mais pour le législateur (et les pisse-copies de la grande presse) c'est déjà un dépôt d'armes voire un arsenal, son propriétaire ne pouvant être qu'un dangereux maniaque pour les "politiquement corrects".
Je reste à votre disposition pour tout autre renseignement plus ciblé.
Cdt!
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- Philippe Regenstreif
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J'en étais sûr !
de Crazybullet » Dim Juin 26, 2005 19:47 08
Salut à tous !
Tu vois Solexine, il a tout dit. Car c'est bien de Lui que tu parlais ?
Dis donc Philippe ! Est-ce que tu ouvres de temps en temps ta boîte à e-miles ? Je t'ai posté une demande d'id de deux 37 mm x 136 US il y a quelques jours et depuis je monte la garde à coté de l'ordi. Non je rigole ! En fait j'en suis à 2/3 mètres..... de l'ordi.
Amicalement à tous !!
Tu vois Solexine, il a tout dit. Car c'est bien de Lui que tu parlais ?
Dis donc Philippe ! Est-ce que tu ouvres de temps en temps ta boîte à e-miles ? Je t'ai posté une demande d'id de deux 37 mm x 136 US il y a quelques jours et depuis je monte la garde à coté de l'ordi. Non je rigole ! En fait j'en suis à 2/3 mètres..... de l'ordi.
Amicalement à tous !!
- Crazybullet
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petite précision
de luger22 » Dim Juin 26, 2005 20:24 56
[Message supprimé à la demande de son posteur]
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au fait mon ami !
de luger22 » Dim Juin 26, 2005 20:26 08
[Message supprimé à la demande de son posteur]
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de Philippe Regenstreif » Dim Juin 26, 2005 22:20 45
Etuis en acier cuivré=
C'était une mesure d'économie de cuivre à l'origine, durant la Grande Guerre, les Allemands commencèrent à se servir de fer cuivré, pour leurs cartouches de 7,92x57, avec au départ quelques problèmes (fissures, corrosion, expulsion d'amorce, etc). Il faudra attendre la seconde partie des années 30 pour qu'on refabrique ce genre d'étui, grâce à la technologie mise au point vers 1935(et brevetée) à Treuenbrietzen. Il s'agissait alors d'acier de meilleure qualité, cuivré électrolytiquement sur les deux faces de la bande de métal où étaient découpés les flans.
Ce type d'étui va se répandre dans la plupart des calibres d'armes légères( y compris les 2cm Flak), jusqu'à l'apparition des étuis en acier bondérisé (ou parkerisé) puis laqué,qui permettaient de sauvegarder le laiton pour les munitions spéciales ou, du moins au début, pour les cartouches d'armes automatiques à haute cadence de tir. Les deux types d'étuis ont été fabriqués en même temps, selon l'usine. certains acier laqué portent encore les marquages de culot des cuivrés...
La plupart des pays ont employé ou, du moins expérimenté avec l'acier cuivré, les exemplaires polonais ou tchèques en 7,92x57 étant actuellement très rares et recherchés des amateurs...Ilexiste même de fort rares 7,5 Mle 1929C à étui acier cuivré...Naturellement, les Russes ont amplement fait usage de ce matériau, et encore actuellement, sous le nom de "bimétal". Les Chinois aussi, seuls les Anglais et les Américains n'ont pas suivi... Je passe bien sûr, sur d'autres pays (Belgique, Finlande, Bulgarie, etc).
Une exception allemande notable, la cartouche de 13x64B pour mitrailleuse MG131, dont la majorité utilise après les premiers exemplaires en laiton, l'acier LAITONNE (teinte jaune et non rose), avant de passer au cuivré et au laqué vers la fin de la guerre.
A noter encore qu'au début, les marquages sur acier cuivré indiquent en plus du code fabricant, du lot et de la date, une série de notations assez ésotériques, concernant l'analyse de l'acier, son origine et l'établissement ayant pratiqué le cuivrage (traitement de surface).
L'usage de l'aimant est donc utile en cas de doute, quoique l'aspect et la couleur ne posent guère de problèmes à celui qui en a l'habitude.
En règle générale, il ne faut percer (n'importe quel métal) qu'avec un forêt très affuté, à faible vitesse et au besoin refroidir avec de l'eau...(le brumisateur d'Evian de Madame est bien commode!). Le spécimen doit être immobilisé dans les mordaches (plomb ou plastique) d'un étau et le mieux pour faire un travail propre, est une perceuse à colonne.
A+ et très Cdt
PR
C'était une mesure d'économie de cuivre à l'origine, durant la Grande Guerre, les Allemands commencèrent à se servir de fer cuivré, pour leurs cartouches de 7,92x57, avec au départ quelques problèmes (fissures, corrosion, expulsion d'amorce, etc). Il faudra attendre la seconde partie des années 30 pour qu'on refabrique ce genre d'étui, grâce à la technologie mise au point vers 1935(et brevetée) à Treuenbrietzen. Il s'agissait alors d'acier de meilleure qualité, cuivré électrolytiquement sur les deux faces de la bande de métal où étaient découpés les flans.
Ce type d'étui va se répandre dans la plupart des calibres d'armes légères( y compris les 2cm Flak), jusqu'à l'apparition des étuis en acier bondérisé (ou parkerisé) puis laqué,qui permettaient de sauvegarder le laiton pour les munitions spéciales ou, du moins au début, pour les cartouches d'armes automatiques à haute cadence de tir. Les deux types d'étuis ont été fabriqués en même temps, selon l'usine. certains acier laqué portent encore les marquages de culot des cuivrés...
La plupart des pays ont employé ou, du moins expérimenté avec l'acier cuivré, les exemplaires polonais ou tchèques en 7,92x57 étant actuellement très rares et recherchés des amateurs...Ilexiste même de fort rares 7,5 Mle 1929C à étui acier cuivré...Naturellement, les Russes ont amplement fait usage de ce matériau, et encore actuellement, sous le nom de "bimétal". Les Chinois aussi, seuls les Anglais et les Américains n'ont pas suivi... Je passe bien sûr, sur d'autres pays (Belgique, Finlande, Bulgarie, etc).
Une exception allemande notable, la cartouche de 13x64B pour mitrailleuse MG131, dont la majorité utilise après les premiers exemplaires en laiton, l'acier LAITONNE (teinte jaune et non rose), avant de passer au cuivré et au laqué vers la fin de la guerre.
A noter encore qu'au début, les marquages sur acier cuivré indiquent en plus du code fabricant, du lot et de la date, une série de notations assez ésotériques, concernant l'analyse de l'acier, son origine et l'établissement ayant pratiqué le cuivrage (traitement de surface).
L'usage de l'aimant est donc utile en cas de doute, quoique l'aspect et la couleur ne posent guère de problèmes à celui qui en a l'habitude.
En règle générale, il ne faut percer (n'importe quel métal) qu'avec un forêt très affuté, à faible vitesse et au besoin refroidir avec de l'eau...(le brumisateur d'Evian de Madame est bien commode!). Le spécimen doit être immobilisé dans les mordaches (plomb ou plastique) d'un étau et le mieux pour faire un travail propre, est une perceuse à colonne.
A+ et très Cdt
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- Philippe Regenstreif
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de Philippe Regenstreif » Dim Juin 26, 2005 22:25 24
Re-pour Gégé:
Ne t'inquiète pas, j'ai un boulot monstrueux, la canicule nous emm... et comble de bonheur j'ai du changer presque en même temps les deux bécanes...l'horreur absolue!
Tout vient à temps pour qui sait attendre! J'ai du prendre un avis pour tes deux douilles, tu sais que le big bore, surtout non-allemand, n'est pas ma tasse de thé!
PR
Ne t'inquiète pas, j'ai un boulot monstrueux, la canicule nous emm... et comble de bonheur j'ai du changer presque en même temps les deux bécanes...l'horreur absolue!
Tout vient à temps pour qui sait attendre! J'ai du prendre un avis pour tes deux douilles, tu sais que le big bore, surtout non-allemand, n'est pas ma tasse de thé!
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- Philippe Regenstreif
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de Dany » Lun Juin 27, 2005 10:10 01
Bonjour Luger 11
Je vais peut-etre dire la même chose qu'au dessus.
Je n'en sais rien car j'ai pas le courage de lire tout.
Mais si t'as trouvé une ou deux cartouches.
C'est dommage, de les bousillées....
Par contre, evidement....
Si t'en a trouvé un stock ! ! ! !
Il vaut mieux les neutraliser si tu ne veux pas avoir un jour des "Problémes"......
Là se serait, un peu plus grave.
Il faut absolument resté en "accord" avec la legislation française.
et ça, je trouve que c'est normal.
Amitiés et à +
Dany
Je vais peut-etre dire la même chose qu'au dessus.
Je n'en sais rien car j'ai pas le courage de lire tout.
Mais si t'as trouvé une ou deux cartouches.
C'est dommage, de les bousillées....
Par contre, evidement....
Si t'en a trouvé un stock ! ! ! !
Il vaut mieux les neutraliser si tu ne veux pas avoir un jour des "Problémes"......
Là se serait, un peu plus grave.
Il faut absolument resté en "accord" avec la legislation française.
et ça, je trouve que c'est normal.
Amitiés et à +
Dany
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Dany - Membre assez bavard
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